Un jeu intellectuel qui se démarque parmi tant d’autres c’est le jeu d’échecs. Il s’agit d’un jeu de société confrontant deux joueurs placés de part et d’autre d’un échiquier. Il a eu le vent en poupe à partir des années 50 et ça ne s’est pas arrêté depuis. Il est donc légitime de se demander pourquoi jouer aux échecs ?
Les bienfaits des échecs sur le cerveau
Jouer aux échecs offre de nombreux avantages tant aux enfants qu’aux personnes âgées. Trois actions du cerveau sont requises lorsqu’un individu joue aux échecs :
- La concentration surtout pour les parties rapides,
- La mémoire à court terme pour le calcul des différentes variantes,
- La mémoire à long terme pour reconnaître les motifs tactiques.
Bénéfique pour la croissance du cerveau
Lorsqu’un individu joue aux échecs, il met son cerveau au défi et cela stimule la croissance des dendrites, ces corps qui signalent les cellules neuronales du cerveau. Lorsque le nombre de dendrites augmente, il y a une meilleure communication neurale avec le cerveau.
Deux côtés du cerveau sollicités
Lors de l’identification des positions sur l’échiquier ainsi que les formes géométriques, il a été démontré que les deux hémisphères du cerveau, gauche et droit, sont très actifs. Ils ont le même temps de réaction, ce qui n’est pas souvent le cas lors d’autres activités, mais en jouant aux échecs ils répondent beaucoup plus rapidement.
Jeu d’échec et intelligence
En jouant au jeu d’échecs, on augmente son niveau d’intelligence, c’est-à-dire que les personnes qui jouent aux échecs élèvent leur QI ou quotient intellectuel. D’ailleurs, une étude l’a démontré, la lecture du jeu permet effectivement d’élever son QI. N’hésitez plus à vous initier à ce jeu intellectuel et vous augmenterez votre intelligence.
Prévention de la maladie d’Alzheimer
Pourquoi jouer aux échecs ? Tout simplement pour entrainer régulièrement son cerveau afin de mieux lutter contre la maladie d’Alzheimer. Une étude a d’ailleurs démontré que les personnes ayant plus de 75 ans qui pratiquaient des jeux cérébraux tels que les échecs risquaient moins de développer la démence ou même la maladie d’Alzheimer.
Récupération suite à un accident vasculaire cérébral
Le jeu d’échecs contribue à améliorer la motricité fine suite à un accident vasculaire cérébral ou un handicap. En effet, déplacer les pièces d’échecs aide à affiner les capacités motrices du malade tout en stimulant la concentration ainsi que le calme. Une manière très pratique de penser à autre chose tout en s’apaisant.
Stimulation de la créativité
Un joueur d’échec libère beaucoup plus sa créativité étant donné qu’il active l’hémisphère droit de son cerveau, qui est justement responsable de la créativité. S’initier aux échecs, c’est donc devenir encore plus créatif et original dans sa manière de penser et d’accomplir des tâches.
Un baume pour la confiance en soi
S’améliorer aux échecs c’est avant tout développer une meilleure confiance en soi. En effet, atteindre une situation d’échec et mat est toujours synonyme de fierté pour le joueur. Lorsqu’on perd au jeu d’échecs, on tend plus à analyser la partie afin d’identifier les erreurs qu’il faudra éviter de reproduire à l’avenir.
